Formation (et/ou diplôme) proposée au RNCP par le certificateur : CNPP ENTREPRISE
NSF 3xx Domaines technico-professionnels des services >
NSF 34x Services à la collectivité >
NSF 344 Sécurite des biens et des personnes, police, surveillance >
>
Le préventeur des risques au travail est responsable de la définition, de la mise en place et du suivi d'une politique de prévention des risques professionnels.
Il a pour mission, dans un premier temps, de concevoir une politique de prévention des risques professionnels adaptée et proportionnée au regard des problématiques identifiées. Pour cela, il doit :
évaluer la conformité réglementaire au regard des typologies de risques auxquels sont exposés les travailleurs ;
identifier les risques professionnels accidentels et chroniques pouvant exposer les travailleurs à un accident du travail ou une maladie professionnelle ;
évaluer les risques professionnels selon une méthodologie de cotation (probabilité, gravité) adaptée aux typologies de risques (chroniques et accidentels) et intégrant les mesures de prévention et moyens de protection en place (prévention, protection) ;
construire un plan d'actions global de maîtrise des risques professionnels.
Dans un second temps, il est chargé de décliner les mesures de prévention et moyens de protection identifiés dans le plan d'action de maîtrise des risques et de les faire évoluer en fonction des actualités réglementaires et technologiques, des observations issues des audits de poste et de l'organisation santé sécurité au sens large et des conclusions tirées de l'analyse des accidents survenus.
Le préventeur des risques au travail a également la responsabilité de mettre en place une communication « sécurité » avec la direction, les travailleurs et les acteurs de la santé et de la sécurité. Il travaille ainsi de façon collaborative avec un ensemble d'interlocuteurs internes et externes dont il maîtrise les enjeux et objectifs. Les principales interactions sont :
en interne avec les services de santé au travail, les CSE et CSSCT (anciennement CHSCT), les Ressources Humaines, la chaîne managériale ;
en externe les organismes de prévention (INRS, CARSAT).
Le préventeur, au-delà des actions opérationnelles de prévention des risques, évalue la vulnérabilité de l'entreprise vis-à-vis du risque professionnel. Pour cela, il a une vision globale de l'entreprise, identifie les points clefs de son fonctionnement aussi bien sur le plan économique, financier, stratégique, commercial, technique et humain. Il identifie alors les points névralgiques pouvant être affectés par des scénarios liés aux risques professionnels comme un accident mortel, un mouvement social, une perte de compétence des salariés…
Il est alors capable de proposer, sur la base de ce diagnostic de vulnérabilité, un plan d'actions complet chiffré, financé et planifié dans le temps. Il est capable de défendre et de convaincre la Direction de l'entreprise du bien-fondé de son analyse et de ses propositions. Il définit également une organisation de gestion de crise performante et adaptée en matière de risques professionnels ainsi que les principales lignes directrices d'un plan de continuité d'activité avec un éclairage économique, financier et assurantiel.
[Se référer à la fiche source pour plus de détails]
Réaliste , Investigateur , Artistique , Social , Entreprenant , Conventionnel
Qu'est-ce que l'aide à l'orientation RIASEC et comment faire le test ?
*source Pôle Emploi
Vous trouverez des détails sur les soft-skills sur le site :
Soft-skills.info
Etude de cas et de questionnement : Cette épreuve écrite vise à évaluer la capacité du candidat à analyser des problématiques de risques professionnels évoqués dans une étude de cas et à y répondre en proposant une politique de prévention adaptée et pertinente. A partir de la remise du sujet, chaque candidat dispose de 90 minutes pour rédiger une analyse, des propositions et répondre à une série de questions. Evaluation orale : Cette épreuve orale a pour objet d'évaluer la capacité du candidat à analyser des problématiques de risques professionnels et à y répondre en proposant une politique de prévention adaptée et pertinente. Le candidat dispose de 30 minutes pour présenter son analyse et répondre aux questions du jury.
Etude de cas et de questionnement : Le candidat doit rédiger une réponse (6 pages maximum) aux questions ouvertes de l'étude de cas, identifiées par le responsable pédagogique. Rapport de recherches et d'étude : Le candidat se voit remettre une étude de cas décrivant un établissement industriel (fonctionnement général et production, finances, produits, marché, organisation sécurité). Une question stratégique est posée au candidat. Le candidat doit, deux mois après réception de ladite étude, rédiger un mémoire détaillant son plan de traitement et répondant à la question stratégique. Une note de synthèse d'une page doit introduire le mémoire, résumer le développement de l'étude et préciser la réponse à la question stratégique. Evaluation orale : Le candidat soutient son mémoire devant un jury professionnel composé de quatre membres dont le président. Le candidat expose l'ensemble de sa démarche et son plan de traitement pendant une vingtaine de minutes. Il est ensuite questionné par le jury qui se présente comme le comité de direction de l'entreprise de l'étude de cas étudiée par le candidat.
Etude de cas et de questionnement : Cette épreuve écrite vise à évaluer la capacité du candidat à analyser un poste de travail décrit dans une étude de cas, à proposer des solutions pertinentes et à les communiquer aux équipes. A partir de la remise du sujet, chaque candidat dispose de 90 minutes pour rédiger une analyse, des propositions et répondre à une série de questions. Evaluation orale : Cette épreuve orale a pour objet d'évaluer la capacité du candidat à produire une analyse de poste de travail complète, à proposer des solutions pertinentes et à les communiquer aux équipes. Le candidat dispose de 30 minutes pour présenter son analyse et répondre aux questions du jury.
Rapport de recherches et d'étude : Le candidat se voit remettre une étude de cas décrivant un établissement industriel (fonctionnement général et production, finances, produits, marché, organisation sécurité). Une question stratégique est posée au candidat. Le candidat doit, deux mois après réception de ladite étude, rédiger un mémoire détaillant sa gestion de crise et son plan de continuité d'activité et répondant à la question stratégique. Une note de synthèse d'une page doit introduire le mémoire, résumer le développement de l'étude et préciser la réponse à la question stratégique. Evaluation orale : Le candidat soutient son mémoire devant un jury professionnel composé de quatre membres dont un président. Le candidat expose l'ensemble de sa démarche, sa gestion de crise et son plan de continuité d'activité pendant une vingtaine de minutes. Il est ensuite questionné par le jury qui se présente comme le comité de direction de l'entreprise de l'étude de cas étudiée par le candidat.
Etude de cas et de questionnement : Le candidat doit rédiger une réponse (6 pages maximums) aux questions ouvertes de l'étude de cas, identifiées par le responsable pédagogique. Rapport de recherches et d'étude : Le candidat se voit remettre une étude de cas décrivant un établissement industriel (fonctionnement général et production, finances, produits, marché, organisation sécurité). Une question stratégique est posée au candidat. Le candidat doit, deux mois après réception de ladite étude, rédiger un mémoire détaillant son analyse de vulnérabilité et répondant à la question stratégique. Une note de synthèse d'une page doit introduire le mémoire, résumer le développement de l'étude et préciser la réponse à la question stratégique. Evaluation orale : Le candidat soutient son mémoire devant un jury professionnel composé de quatre membres dont le président. Le candidat expose l'ensemble de sa démarche et son analyse de vulnérabilité pendant une vingtaine de minutes. Il est ensuite questionné par le jury qui se présente comme le comité de direction de l'entreprise de l'étude de cas étudiée par le candidat.